Alicia : il y a une place pour tout le monde

Alicia est née au Nigéria et a déménagé au Royaume-Uni pour étudier en RH. Elle a commencé sa carrière de recruteuse dans son pays d’origine, où elle s’est découvert un talent pour réunir des gens d’exception. « Ma capacité à réunir les bonnes personnes pour former l’équipe idéale est mon superpouvoir », dit-elle. « Je comprends ce dont le client a besoin et ce que le candidat cherche. J’adore entrer en interaction avec les gens et je sais comment les faire rayonner. »

Quand Alicia est venue au Canada, elle a vécu la frustration de devoir faire ses preuves, malgré son expérience en RH, simplement parce qu’elle n’avait pas d’expérience en sol canadien.

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Alicia est convaincue qu’il y a de la place pour plus de femmes dans le domaine des technologies. Cependant, ce n’est pas le gros obstacle pour les spécialistes en recrutement au moment de l’embauche. Selon elle, « les employeurs sont de plus en plus réceptifs à l’idée d’embaucher des femmes, mais le vrai défi est de les amener à embaucher des talents qui possèdent des compétences acquises à l’extérieur du Canada. »

C’est la raison pour laquelle au lieu de trouver tout de suite un emploi dans son domaine d’expertise, elle a accepté un poste en soutien technique. Cela lui a permis d’explorer son intérêt de longue date pour les TI. Le poste a été une bénédiction, puisqu’elle a éventuellement trouvé son chemin jusqu’au monde du recrutement, où, en tant que recruteuse dans le domaine des technologies, elle a trouvé un rôle combinant ses deux passions : les RH et les TI.

« J’aime me lever le matin sachant que je vais changer la vie d’une personne, sachant que je vais donner espoir à quelqu’un », explique Alicia. « Je ne vais pas nécessairement avoir un emploi pour les gens que je vais rencontrer ce jour-là, mais je veux quand même avoir une conversation intéressante avec la personne, apprendre à la connaître pour que le jour où j’entende parler d’un emploi, je puisse savoir qu’il est pour elle. » 

Alicia est farouchement optimiste pour l’avenir, alors que les occasions se multiplient dans l’Ouest du Canada : « Les développeurs sont en demande bien sûr, mais la demande est particulièrement forte pour les développeurs iOS et Android. Je pense que Calgary va devenir un carrefour technologique après la COVID. C’est l’endroit où aller pour un avenir en technologie. Je souhaite faire partie intégrante de ma communauté et aider les personnes et les entreprises à devenir la meilleure version d’elles-mêmes. »

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Candice : la communication représente l’avenir

Venant de l’industrie de l’accueil et de la gestion hôtelière, Candice Wright possède un bon ensemble de compétences en matière de service à la clientèle qu’elle a trouvé très pertinent au moment de faire une transition dans le recrutement. À titre de recruteuse en TI, elle jumelle des développeurs et d’autres professionnels des hautes technologies avec des entreprises.

Jeune, Candice a envisagé une carrière en génie. Elle sait d’expérience à quel point le monde des STIM peut être intimidant. « À l’époque, je me suis demandé si je voulais réellement être la seule fille dans un groupe de 10 personnes », explique-t-elle. Dans une tournure d’événement intéressante, elle a tout de même fini par se retrouver en sous-nombre. Les femmes sont en proportion plus élevées dans le recrutement et les RH, sauf bien sûr, lorsqu’il est question de recrutement dans le domaine des technologies. Candice passe beaucoup de temps sur LinkedIn, agissant comme mentore auprès de jeunes femmes et les encourageant à s’investir dans les STIM. 

Elle remarque que certains préjugés persistent, surtout en ce qui concerne les postes de leadership. « Je continue d’entendre des commentaires qui sous-tendent certaines attentes », dit-elle. « Des commentaires du genre la meilleure personne pour le poste devrait être la copie exacte de la personne qui occupait le poste auparavant. On dirait que c’est enraciné dans le processus mental des gestionnaires. J’essaie donc de ramener la conversation sur les compétences de la personne qui correspondent à la description du poste. »

Voyant des occasions de se développer comme responsable d’équipe, Candice juge la communication comme une des compétences les plus utiles pour naviguer un monde qui change constamment, comme le monde du travail. La pandémie a mis l’accent sur l’importance de perfectionner des aptitudes de communication, surtout lorsqu’on est un nouvel employé. « J’ai commencé mon emploi une semaine avant la fermeture des bureaux », explique-t-elle. « Ça m’a alors pris un peu plus de temps pour bien comprendre la culture organisationnelle, car je n’avais pas accès aux discussions informelles et aux interactions personnelles qui permettent d’apprendre beaucoup de choses. » 

Pour Candice, au-delà de l’IA, de l’infonuagique et de la cybersécurité, il y a une compétence qui est toujours demandée par ses clients, et c’est la communication. « Les clients considèrent la communication et la collaboration comme très importantes, même lorsqu’ils embauchent un scientifique de données. Les employeurs veulent que leurs spécialistes soient capables d’expliquer, d’illustrer et de « vendre » leurs programmes de manière convaincante aux parties prenantes. »

Cela explique pourquoi, selon Candice, les entreprises doivent absolument fournir des outils pour encourager la communication. « C’est ce que j’aime de Randstad : notre approche humaine, non seulement avec la clientèle, mais à l’interne également. L’entreprise fait preuve de beaucoup d’empathie et offre du soutien à son personnel. »

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